La musique de cette chanson était au départ composée en mesures à 4 temps (4/4) et assez lente, car je voulais que cette intéressante mélodie sonne comme un hymne, mais elle ne fonctionnait pas trop avec ces mesures. J'avais composé des paroles anglaises et le thème de souvenirs enfuis était assez flou et impersonnel. J'ai donc demandé de l'aide pour l'écriture à mon ami Gérard Mayorgas qui a trouvé l'idée du "Babyboom child". Les enfants nés dans l'immédiat après-guerre (entre 1945 et 1950) étaient appelés les babyboomers). Il a bien avancé sur les paroles. Par la suite j'ai demandé à mon ami Irlandais Connal Larkin de corriger les impropriétés anglaises de notre composition. Il a changé quelques paroles.
Cette collaboration avec un musicien Irlandais m'a donné l'idée d'essayer de jouer la chanson dans le style des chansons irlandaises, avec guitare, flûte et bodhran (percussion). C'était mieux et les mesures ternaire (3/4) sont apparues évidentes. De là je suis arrivé à un arrangement en valse lente style country avec violon et pedal-steel.
Voici les paroles
The year we were born the war was just over
Is this big sad storm left and gone forever
We may look at the sky with its deep blue so fine
For you “ Our Babyboom Child”
Cowboys on screen on their horses they ride
In our games the rehearsal of this world in our yard
Sweet memories come wandering back
Now let you heart tell you which words may be said
Like a love everlasting let the sound fill your head.
Everyone’s singing like a million voices
We may in spite of this that nobody’s crying
May this dream come true.
A spirit rested upon my shoulder
And in my ears it gently whispered
May your song change your words you shall realise
And may it warm you like the sunrise.
No clouds in the summer sky
with a smile on your face
Life in a good way goes by
sweet as a dress made of lace
But you’ll realise when looking around you
So close but no paradise
Will it be enough to make your wishes arise
Not long before life was still so sweet
The children were playing on the meadows so green
Yet we were all dreaming of future holidays
Could these days not last for ever.
Photo prise à Dublin (Temple bar) avec mes amis Connal Larkin et Thomas Walsh
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